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Dans une prairie, en bordure de forêt,
Batifolait le nez en l’air, une sauterelle,
Sous un gracieux et doux soleil d’été,
Jouant de ses reflets battant des ailes,
Et vient récemment de quitter sa famille.
Un jeune renard radieux qui se faufile,
Ce décor touchant le mettant en émoi,
Sorti soudain de l’abri de son sous-bois.
— Mais que faites-vous à sauter ainsi,
S’enquit ce petit renardeau si hardi,
Est-ce une danse, dite, cette pratique
Qui vous rend tellement magnifique !
— Point du tout, vous vous méprenez,
Quand je saute, je cherche à manger,
Et ainsi, me pose sur des tendres fleurs
Dans lesquelles je trouve mon bonheur.
— C’est ainsi que vous trouvez votre pitance,
S’enquit notre incrédule, petit renardeau,
Ma mère pratiquait-elle, dite, cette danse
Lorsqu’elle partait à la chasse aux mulots ?
— Je ne saurais hélas, point vous le dire,
Vous n’avez qu’à essayer de danser
Allez-y, ce que vous risquez, au pire,
C’est juste de vous casser le nez !
Alors, le renardeau prenant son courage,
Dans l’insouciance de son jeune âge,
Se mit à faire sans aucune autre façon,
Un, deux, puis toute une série de bonds.
Et voilà que, par le plus grand des hasards,
Sous ses pattes, sent une chose bizarre,
Il vient de tomber à la fin de ses sauts,
Sur le dos d’un beau et bien dodu mulot.
C’est depuis ce jour-là que sans le savoir,
Lorsque le soleil se couche et qu’arrive le soir,
On peut voir au milieu des grandes prairies,
Tous les renards sauter comme des cabris.
*Compagnon jovial.
Un joyeux *drille.
ça y est ton petit frère sait faire du vélo vert ?
Commentaires
eh bien tu te débrouille mieux que moi hein !
chat alors !
L’expérience
Dans une prairie, en bordure de forêt,
Batifolait le nez en l’air, une sauterelle,
Sous un gracieux et doux soleil d’été,
Jouant de ses reflets battant des ailes,
Et vient récemment de quitter sa famille.
Un jeune renard radieux qui se faufile,
Ce décor touchant le mettant en émoi,
Sorti soudain de l’abri de son sous-bois.
— Mais que faites-vous à sauter ainsi,
S’enquit ce petit renardeau si hardi,
Est-ce une danse, dite, cette pratique
Qui vous rend tellement magnifique !
— Point du tout, vous vous méprenez,
Quand je saute, je cherche à manger,
Et ainsi, me pose sur des tendres fleurs
Dans lesquelles je trouve mon bonheur.
— C’est ainsi que vous trouvez votre pitance,
S’enquit notre incrédule, petit renardeau,
Ma mère pratiquait-elle, dite, cette danse
Lorsqu’elle partait à la chasse aux mulots ?
— Je ne saurais hélas, point vous le dire,
Vous n’avez qu’à essayer de danser
Allez-y, ce que vous risquez, au pire,
C’est juste de vous casser le nez !
Alors, le renardeau prenant son courage,
Dans l’insouciance de son jeune âge,
Se mit à faire sans aucune autre façon,
Un, deux, puis toute une série de bonds.
Et voilà que, par le plus grand des hasards,
Sous ses pattes, sent une chose bizarre,
Il vient de tomber à la fin de ses sauts,
Sur le dos d’un beau et bien dodu mulot.
C’est depuis ce jour-là que sans le savoir,
Lorsque le soleil se couche et qu’arrive le soir,
On peut voir au milieu des grandes prairies,
Tous les renards sauter comme des cabris.
*Compagnon jovial.
Un joyeux *drille.
ça y est ton petit frère sait faire du vélo vert ?